Close

Soutien à la création

Résidences

Le CCHAR accueille des compagnies en résidence : offre un lieu pour l’hébergement et les repas ainsi qu’un espace d’écriture, d’échauffement et de répétition ; négocie auprès des autorités l’autorisation d’occupation de l’espace public pour que les artistes puissent présenter leur travail « en situation » : centre-ville, place du marché, école, terrain de foot, clairière, quartier périphérique… Ces toutes premières représentations leur permettent de se confronter à des environnements et à des modes de réception différents, selon les publics touchés, les langues parlées, le « climat urbain », etc.

L’organisation d’un tel continuum entre la création et la diffusion et ses déclinaisons, en fonction des spécificités des équipes artistiques et des lieux d’accueil, assurent la mise en valeur de la richesse suisse en matière de création en espaces publics. Elles donnent au public la place qui lui revient dans la genèse d’un spectacle, avec une ouverture maximale, pédagogie et sens critique. Elle associe un grand nombre d’acteurs de toutes natures (communes, réseau de villes, quartiers, théâtres, festivals…) qui tirent profit de la proposition en fonction de leurs missions, de leurs moyens et de leurs envies. 

Bienne, Neuchâtel, La Chaux-de-Fonds font d’ores et déjà partie de ce réseau, ouvert à tous. Rejoignez-nous !

RENCONTRE DU 3EME TYPE

RENCONTRE DU 3EME TYPE

La MàF présente le travail en cours RENCONTRE DU 3EME TYPE, un rendez-vous prévu dans l’espace public entre deux populations que tout semble opposer : les actif·ves et les retraité·es. Un cesser-le-feu où il s’agira de déjouer les faux semblants. Notre futur dans leurs présents. Un échange qui fait suite à la résidence de deux artistes en EMS, et la première pierre d'un bel édifice que l'ABC se réjouit de voir grandir.
L'ordinaire extraordinaire

L’ordinaire extraordinaire

Faire raisonner les murs, avancer dans le temps en suivant une rue, observer les détails, donner à voir, à entendre, ressentir ce patrimoine si précieux, questionner le lien entre passé et présent, visible et invisible, telle est l'ambition de ce projet de visite.
We run the world, girls!

We RUN the world, girls!

Entre chiens et loup, une vitrine, des rues habitées par des femmes. Des corps qui s’expriment derrière une vitre, au coin d’une ruelle ou sur une place. Ils parlent fort, ces corps. Ils exultent leur féminité de manière exagérée comme une arme contre le patriarcat ou cassent les codes de genre, brouillent les pistes, refusent ce qu’on attend d’eux. Des présences qui affirment leur singularité et leurs différences.
We run the world, girls!

We RUN the world, girls!

Entre chiens et loup, une vitrine, des rues habitées par des femmes. Des corps qui s’expriment derrière une vitre, au coin d’une ruelle ou sur une place. Ils parlent fort, ces corps. Ils exultent leur féminité de manière exagérée comme une arme contre le patriarcat ou cassent les codes de genre, brouillent les pistes, refusent ce qu’on attend d’eux. Des présences qui affirment leur singularité et leurs différences.
We run the world, girls!

We RUN the world, girls!

Entre chiens et loup, une vitrine, des rues habitées par des femmes. Des corps qui s’expriment derrière une vitre, au coin d’une ruelle ou sur une place. Ils parlent fort, ces corps. Ils exultent leur féminité de manière exagérée comme une arme contre le patriarcat ou cassent les codes de genre, brouillent les pistes, refusent ce qu’on attend d’eux. Des présences qui affirment leur singularité et leurs différences.
L'ordinaire extraordinaire

L’ordinaire extraordinaire

Faire raisonner les murs, avancer dans le temps en suivant une rue, observer les détails, donner à voir, à entendre, ressentir ce patrimoine si précieux, questionner le lien entre passé et présent, visible et invisible, telle est l'ambition de ce projet de visite.