SPLATSCH ! Ode à la tarte à la crème
Comment concilier rire et violence, absurde et dénonciation, douceur et humiliation à travers un geste simple et une pâtisserie ? Un geste à la fois absurde et profondément signifiant ?
Comment concilier rire et violence, absurde et dénonciation, douceur et humiliation à travers un geste simple et une pâtisserie ? Un geste à la fois absurde et profondément signifiant ?
Comment concilier rire et violence, absurde et dénonciation, douceur et humiliation à travers un geste simple et une pâtisserie ? Un geste à la fois absurde et profondément signifiant ?
Entre chiens et loup, une vitrine, des rues habitées par des femmes. Des corps qui s’expriment derrière une vitre, au coin d’une ruelle ou sur une place. Ils parlent fort, ces corps. Ils exultent leur féminité de manière exagérée comme une arme contre le patriarcat ou cassent les codes de genre, brouillent les pistes, refusent ce qu’on attend d’eux. Des présences qui affirment leur singularité et leurs différences.
Jouons autant sur la tentative que sur la tentation!
Jouons autant sur la tentative que sur la tentation!
Comme un rêve d’enfance qui se réalise, ce trio clownesque pas tout à fait musicien, surtout circassien, joue un concert de musique baroque.
Une parenthèse unique, rythmée et dynamique, mêlant improvisation, conte, théâtre et musique.
Monter une tente, c'est une histoire de logique. Anticiper son autonomie alimentaire est primordial. Sans oublier l’apéritif. Avec cette séance « pédagogique » au bivouac, Mr Lemoin et Sylvain Grosperrin ont 50 minutes pour préparer les enfants et rassurer les parents.
Approchez et observez ce spécimen rare de jongleur-animal à la saison des amours, espèce endémique dont le seul objectif est de draguer le public.
Plouf et Splatsch, deux grenouilles, se posent des questions. Deux grenouilles, mais c’est plutôt une grenouille et une abeille. Enfin une grenouille-abeille… une greneille… une abouille…
Dans « O comme... Cacahuète », Stoppino présente une succession de démonstrations pataphysiques uniques et renversantes. Jongleur du quotidien, ce clown devient un architecte sensible pour construire une vision ironique et onirique de l’ordinaire et de la nature humaine. Tout ceci, sans parole.
Cette création sera une manière d’exorciser le temps qui passe, de jouer tous les rôles qu’on ne nous a pas donné, de dire ce qui brûle depuis trop longtemps et de laisser la poussière sur les souvenirs trimballés jusqu’ici.